Affichage des articles dont le libellé est Actions. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Actions. Afficher tous les articles

mercredi 25 juin 2014

Le Petit Journal - Plan d'Arem : un an après

Le Petit Journal | Générale | Plan d'Arem : un an après
- +
Le barrage de Plan d'Arem aurait dû être curé en 2011 et ne l'avait pas été car des solutions pour le stockage des boues n'avaient pas été trouvées. Comme souvent en France l'on a le sentiment qu’il faut qu'une catastrophe se produise pour que l'on trouve d'un seul coup la solution.
Immédiatement après l'inondation il a été clair aux yeux des habitants de Saint-Béat notamment que le barrage rempli de sédiment - au point qu'une île s'y était formée - avait sa part de responsabilité dans l'ampleur des inondations.
Une semaine après les inondations lors de la réunion du Conseil Régional en Assemblée plénière, le Conseiller ...
(Lire la suite de l'article sur la site du Petit Journal)

samedi 21 juin 2014

Spéciale un an après - France 3 - La voix est libre

L'émission "La voix est libre" de France 3 Midi-Pyrénées était consacrée aujourd'hui à la situation actuelle des vallées pyrénéennes sinistrées à l'occasion des inondations du 18 juin 2013.
Débat animé par Patrick Noviello  et Laurent Dubois
Invités sur le plateau :
- Carole Delga (PS), députée du Comminges et donc de Saint-Béat au moment des évènements, aujourd'hui secrétaire d'état au commerce, à l'artisanat et à la consommation
- Michel Pélieu (PRG), président du Conseil Général des Hautes-Pyrénées
- Michel Azot, président du Centre Pyrénéen des Risques Majeurs (présenté comme la caution scientifique, mais il s'agit également d'un politique supplémentaire car élu UDI à Lourdes sur la Liste Union de la Droite)

mercredi 18 juin 2014

Manif réussie - Il sera difficile au préfet de continuer de nous ignorer

Revue de presse autour du 18 juin 2014

Mise à jour du 5 juillet 2014
- La Gazette du Comminges du 18 juin

Mise à jour le 21 juin 2014
Ajouts du 21 juin :
- Reportage de France 3 Midi-Pyrénées du 17 juin
- Reportage de D8 (Canal+)
- Reportage diffusé sur NetworkVisio France
- La Dépêche du Midi du 19 juin
- 20 minutes du 16 juin

Merci de nous faire passer les différentes infos dont vous auriez connaissance. Nous complèterons la page au fur et à mesure.

La Dépêche du Midi du 18 juin 2014


La Dépêche du Midi du 19 juin 2014



http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/18/1902651-an-apres-inondations-tout-est-fait-eviter-nouveau-drame.html
La Dépêche du Midi du 18 juin 2014
http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/18/1902704-an-apres-inondations-millions-euros-aides-verses.html
La Dépêche du Midi du 18 juin 2014
Actu-Orange à partir de la dépêche AFP
20 minutes du 16 juin 2014

La Gazette du Comminges - Page 15

La Gazette du Comminges - Page 16 





 Reportage de M6 - diffusé le 18 juin 2014 au 12 h 45


Reportage du 13 h de TF1 diffusé le 18 juin 2014


Reportage sur la manifestation de St-Béat - France 3 Midi-Pyrénées - diffusé le 18 juin 2014


Reportage sur les travaux de sécurisation de la Garonne engagés dans le Val d'Aran - France 3 Midi-Pyrénées - diffusé le 18 juin 2014


Intégrale du direct du 18 juin 2014 depuis Barèges faisant le point sur la situation, notamment dans les Hautes-Pyrénées, un an après. On y découvre avec étonnement la différence de traitement du sinistre entre les deux vallées. Les élus ne sont pas les mêmes, d'accord ! Mais on a pourtant affaire au même préfet de région !
(Cette émission comporte également les deux précédents reportages tournés chez nous, celui sur la manifestation d'aujourd'hui et celui sur les travaux du Val d'Aran).


Reportage de France Midi-Pyrénées diffusé les 17 et 18 juin 2014 présentant Saint-Béat, un an après les inondations.


Reportage de D8 (Canal +) diffusé au JT du soir le 18 juin 2014


Interview de 8' d'Alain Frisoni, maire de St-Béat, diffusé sur NetworkVisio France
Mercredi 18 juin ... malheureux anniversaire !
Manifestons notre colère et notre détermination !!!
Pour que les administrations et les collectivités prennent rapidement leurs responsabilités et passent enfin à l'action !            Pour que nos vallées et leurs habitants ne soient pas des laissés-pour-compte !           Pour que tout soit fait pour que nous ne connaissions plus un tel sinistre ! BARRAGE FILTRANT DE LA ROUTE INTERNATIONALE
Rendez-vous à partir de 9 h à Saint-Béat - secteur du Pont-Neuf

Quand le ministère de l'écologie nous enfume

Ministère de l'écologie
Le 20 janvier, le collectif avait interpelé Philippe Martin, précédent ministre de l'écologie.
Vue la spécificité de notre problématique, c'est Patricia Blanc, directrice générale de la prévention des risques qui nous répond. Le 15 juin, nous recevions donc son courrier (daté pourtant du 19 mai ... Ah ! le service public ... avec la crise ...).
Nous nous sommes précipités sur cette lettre tant espérée. Bof !
Soucieux du partage de l'information, nous vous invitons à la feuilleter en cliquant sur sa vignette ci-contre. Comme nous, prenez plaisir à vous délecter de ce vocabulaire, de ces promesses ... de cet enfumage diront même certains esprits chagrins !
On pourrait laisser tomber ; apparemment, il n'y a pas grand chose à attendre de certains technocrates. Mais bon ! On a quand même décidé de répondre, au moins pour le symbole. et aussi pour ne pas avoir l'impression de se laisser traiter (comme disent les djeun's).
Ci-dessous donc, notre réponse à la dame.

mardi 17 juin 2014

Le 12 13 - France 3 Midi-Pyrénées - Saint-Béat, un an après la crue du 18 juin 2013

Un an après la crue du 18 juin 2013...
Le préfet assure qu'il lui semble que le dispositif public de soutien est considérable...
Cela dit, un an après, à St-Béat, l'une des communes les plus sinistrées, le compte n'y est toujours pas. Pour la majorité des sinistrés, un fort sentiment d'abandon prédomine toujours chez eux.


Au JT du 19 20, le 1er reportage, celui sur la conférence de presse du préfet, est bien plus complet.

MétroNews - Saint Béat : un an après les inondations l'inquiétude reste palpable

INONDATIONS – Douze mois après les crues des 18 et 19 juin 2013, les habitants de la vallée de la Garonne entre Saint Béat et Fos sont toujours inquiets. Si les longs travaux de reconstruction des maisons et commerces est entamé, l'aménagement de la Garonne suscite toujours autant d'inquiétude.

camping
Louis Bron, propriétaire du camping Thei Garonnette, montre le système d'alerte installé près de son terrain qui a prévenu la crue de juin 2013. Photo : Ph.F/metronews
Un an après les inondations de juin 2013 Saint Béat panse encore ses plaies. Alors qu'ils s'apprêtent à manifester mercredi matin dans le village, les habitants de la vallée de la Garonne sont en colère.
" En un an rien n'a bougé, on a le sentiment d'être abandonnés", résume Alain Frisoni, le nouveau maire de la commune. L'ancien mineur lorrain qui a contribué à la création de l'association "Sauvons Saint Béat" après les crues de juin 2013 dresse un constat amer. "Il a fallu se battre pour être indemnisés et de son côté l'Etat refuse de mettre la main à la poche".
Pas d'aménagement de la Garonne
Car l'absence de travaux conséquents pour aménager la Garonne inquiète les habitants de la vallée. D'autant qu'en amont du côté espagnol, d'importants chantiers de canalisation du fleuve ont été menés. "S'il y a de nouveaux orages en Espagne c'est nous qui allons trinquer", pronostique l'élu. ...
(Lire la suite de l'article sur le site de MetroNews)

lundi 16 juin 2014

Le collectif écrit aux maires de la vallée de la Garonne

Canton de Saint Béat                         Chaum, le 11 Juin 2014
Lettre aux maires de la vallée de la Garonne                                             


Madame, Monsieur le Maire,

Le collectif « SORTIR DE L’EAU » qui s’est créé après les inondations de juin 2013 s’est donné pour objectif la sécurisation de la Garonne.

Ces travaux de sécurisation sont indispensables car sans eux rien n’est possible ; ils conditionnent l’avenir économique de l’ensemble du canton ; pour certains villages, directement menacés, ils doivent permettre d’éviter la double peine : le désert économique et l’inondation qui ne manquera pas de se reproduire, plus dangereuse encore.

Depuis des mois nous tentons de sensibiliser l’administration et nos élus à ce chantier prioritaire.

Constatant l’inaction des uns et des autres, notre collectif a décidé de manifester l’exaspération de la population en perturbant la circulation automobile sur la route d’Espagne, à Saint-Béat, le 18 juin 2014.

Cette manifestation a pour but de défendre tous les villages du canton ; c’est pourquoi nous insistons pour que vous y participiez activement.

Comptant sur votre présence le 18 juin 2014 à Saint-Béat , veuillez agréer, Madame, Monsieur le Maire, l’expression de nos sentiments distingués.

dimanche 15 juin 2014

Le nouveau sous-préfet de Saint-Gaudens a rencontré le collectif "Sortir de l'eau"

Le nouveau sous-préfet de St-Gaudens souhaite forger sa propre opinion de l'évolution de la situation actuelle, un an après les inondations. C'est ainsi qu'il a reçu, mercredi après-midi, différents acteurs locaux (élus de Fos, de Saint-Béat, la Communauté de Communes et trois représentants du collectif).
Vendredi soir, à la salle des fêtes de St-Béat, ceux-ci nous ont fait le compte-rendu commenté de cette rencontre.
Pour ceux qui n'étaient pas présents, le voici ci-dessous, rédigé par Philippe Prax.

mercredi 11 juin 2014

Communiqué de presse

Communiqué de presse

Le 18 juin 2013, les vallées de la Garonne et de la Pique ont été dévastées par une crue exceptionnelle. L’élan de solidarité de nombreux bénévoles a été à la mesure des dégâts : lui aussi exceptionnel. Nous ne les remercierons jamais assez.

Très vite, nous avons reçu la visite, en cohortes serrées, de personnalités, de ministres et même le président de la République, François Hollande. Ils nous ont tous assuré, la main sur le cœur, de leur compassion et de la solidarité de la nation puis ils ont regagné la capitale.

La population s’est mise au travail avec courage pour effacer les traces de la crue mais rien ne sera possible tant que la Garonne ne sera pas sécurisée.

Depuis maintenant un an, les pouvoirs publics tergiversent, les comités succèdent aux commissions pour savoir s’il faut faire des travaux et où. On nous promet des décisions pour le mois suivant et, jour après jour, les berges continuent de s’effondrer, les atterrissements de prendre des proportions inquiétantes suivant le cycle bien connu atterrissement-érosion.

Dans les jours qui ont suivi la crue, les autorités espagnoles avaient décidé des travaux à effectuer et débloqué les fonds nécessaires. Les travaux sont terminés en amont de la frontière.
Pendant ce temps, notre administration, dont on vante la qualité, continue, depuis un an, de s’interroger sans rien décider.

Nous invitons Monsieur le Président de la République et son premier ministre à venir nous rendre visite. Ils pourront constater de visu le fossé qui existe entre leurs déclarations de 2013 et la réalité de 2014.

Pour dénoncer l’inaction générale de l’administration et de nos élus, la population de notre canton manifestera le 18 juin, jour anniversaire de la catastrophe de 2013.


Le collectif « Sortir de l’eau »

dimanche 8 juin 2014

La Dépêche du Midi - Un an après la crue, les sinistrés du Comminges se sentent oubliés

Inondations

Saint-Béat, une semaine après la crue qui avait dévasté le village. / Archives DDM, Xavier de Fenoyl
Saint-Béat, une semaine après la crue qui avait dévasté
le village. / Archives DDM, Xavier de Fenoyl


Un an après, les crues de la Garonne dans les secteurs de Saint-Béat et de Luchon ont laissé des traces encore visibles. Et du travail reste à faire. Les habitants restent mobilisés.
Le choc a eu lieu le 18 juin 2013. L'émotion s'est prolongée durant de longues heures, de longs jours. Le nettoyage s'est déroulé pendant des semaines. Puis vint le temps de la colère. Le Président de la République, des ministres, les plus hauts responsables se sont succédé. Tous ont promis des aides après les funestes crues de cette journée, tant à Saint-Béat qu'à Luchon. Puis est arrivé le sentiment d'être oublié. Presque un an après les faits, ces derniers jours, les plaies ouvertes sont encore vives et les réunions se multiplient pour analyser ce qui s'est produit au cours de ces journées et ce qui s'en est suivi.
Le collectif «Sortir de l'eau» à Saint-Béat reste très actif et mobilisé comme en témoigne la dernière réunion que ses porte-parole ont menée à la salle des fêtes du village. Depuis la vidéo présentée, l'assistance a pu constater une nouvelle fois les destructions provoquées par la Garonne, et leur évolution.
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr)

mercredi 4 juin 2014

La Dépêche du Midi - Inondations à Saint-Béat : le collectif «Sortir de l'eau» refuse l'inaction


Les travaux mis en œuvre au Plan d'Arrem semblent pour le Collectif insuffisants pour éviter le déferlement des boues sur l'aval en cas de crue/Photo DDM, C. T
Les travaux mis en œuvre au Plan d'Arrem semblent pour
le Collectif insuffisants pour éviter le déferlement des boues
sur l'aval en cas de crue/Photo DDM, C. T

Le collectif «Sortir de l'eau» à Saint-Béat reste très actif et mobilisé comme en témoigne la dernière réunion que ses porte-parole ont menée à la salle des fêtes. Depuis la vidéo présentée, l'assistance a pu constater une nouvelle fois les destructions provoquées par la Garonne, et leur évolution.
«En regardant ces images, on peut apprécier le danger que représentent pour la population les berges effondrées, les embâcles, les atterrissements qui inexorablement détruisent le fleuve parce que rien n'est fait côté français pour stopper ce désastre», soulignait Philippe Prax qui a conduit cette réunion, tout au long de laquelle de nombreux échanges et commentaires ont eu lieu.
«Rien ne sera possible durablement tant que la Garonne ne sera pas sécurisée. C'est pour cela, qu'au titre du collectif une petite équipe a décidé de se focaliser sur trois sujets», ajoutait ce dernier.
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr)

mardi 3 juin 2014

La Dépêche du Midi - Bagnères-de-Luchon. L'inquiétude du collectif Nos Vallées persiste

Anniversaire inondations 18 juin


La sidération devant l'eau qui monte. Les importants travaux qui devaient définitivement sécuriser la coulée de Castelvielh n'ont toujours pas été engagés/Photo DDM V.B archives.
La sidération devant l'eau qui monte. Les importants travaux qui
devaient définitivement sécuriser la coulée de Castelvielh n'ont
toujours pas été engagés/Photo DDM V.B archives.

Un peu plus de deux semaines avant le premier anniversaire des inondations du 18 juin dernier, les membres du collectif «Nos Vallées» tirent la sonnette d'alarme. Les travaux promis n'ont toujours pas été amorcés. Ravine de Castelvielh, curage des barrages, la situation reste inchangée. Les précisions de l'un des membres du collectif, Didier Dienst.
Où en êtes-vous aujourd'hui ?
Nous ne le savons pas exactement. C'est pourquoi le collectif a envoyé un courrier à Monsieur le Préfet, à la députée, Mme Carole Delga, ainsi qu'au maire de Luchon. Nous avons aujourd'hui besoin de savoir ce qui va être fait, et quand ! Nous avons besoin de réponses précises à nos interrogations afin de rassurer les habitants. Nous demandons aussi un échéancier concernant les travaux à venir. L'an dernier, nous avons été frappés par un véritable désastre, écologique et financier.
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr)

dimanche 25 mai 2014

Compte-rendu de la réunion publique du collectif « Sortir de l’eau » du 24 mai 2014


Présentation de la vidéo

La vidéo présentée rappelle les engagements pris par le président Hollande lors de sa venue à Saint-Béat ainsi que ceux du ministre de l’intérieur, Manuel Valls, devant la représentation nationale le 25 juin. Chacun a pu apprécier le décalage entre les paroles et la réalité.
Les destructions provoquées par la Garonne ainsi que la progression de ces destructions sont clairement visualisées. Nous avons tous pu apprécier le danger que représente pour la population les berges effondrées, les embâcles et les atterrissements qui, inexorablement, détruisent le fleuve parce que rien n’est entrepris côté français pour stopper ce désastre.

Commentaires

Rien ne sera possible durablement tant que la Garonne ne sera pas sécurisée. C’est pour cela qu’au titre du collectif notre petite équipe a décidé de se focaliser sur 3 sujets :
  • Le Plan d’Arem : Le curage décidé par EDF permettra de faire fonctionner les turbines mais il est insuffisant pour, en cas de crue, éviter les déferlements des boues.
  • Le système de prévention et de prévision : Vigicrues n’est pas un système de prévention ; c’est un mauvais système de prévision.
  • Le renforcement des berges et l’enlèvement des atterrissements. C’est le sujet majeur que nous proposons de développer car il s’agit de l’urgence n° 1.
Nous n’oublions pas les 2 sujets précédents mais nous les traiterons plus tard.

mardi 20 mai 2014

Réunion publique du collectif le 24 mai 2014

Le collectif « Sortir de l’eau » organise le 24 mai 2014 à 20 h 30 à la salle des fêtes de Saint Béat une réunion pour expliquer les actions qu’il a menées pour que les déclarations de soutien du Président de la République et de ses ministres en faveur des communes sinistrées le 18 juin 2013 se traduisent dans les faits.

Il fera le constat des résultats et s’exprimera sur les responsabilités respectives de l’État et des collectivités locales.

Nous débattrons et nous déciderons ensuite des actions à mener.

Le soutien du plus grand nombre est indispensable. Venez tous, venez nombreux.

jeudi 27 février 2014

La Dépêche du Midi - Saint-Béat. Rencontre entre le collectif «Sortir de l'eau» et L'État


Les travaux sur la Garonne et le Plan d'Arrem seront au cœur des échanges./Photo DDM, C. T
Les travaux sur la Garonne et le Plan d'Arrem seront au cœur des
échanges./Photo DDM, C. T

Demain, une nouvelle rencontre est attendue entre des porte-parole du collectif «Sortir de l’eau» et le sous-préfet Bernard Bahut.
À l’issue de cet échange, qui se veut être constructif, le collectif animera une réunion publique le vendredi 7 mars à 20 h 30 à la salle des fêtes de Saint-Béat. Créé à l’automne dernier pour venir en aide aux sinistrés du canton et participer à la renaissance de Saint-Béat, le collectif reste très actif, «même si tout ce qui est fait n’est pas forcément visible», déclare Luce Lagacherie.

Le même volume d'eau soit deux fois le volume normal

Des différents sujets qui seront présentés au sous-préfet, Philippe Prax, bénévole du collectif, précise : «nous lui exposerons la situation des accumulations d’eau en forme de neige dans le bassin Garonne mesurées par le gouvernement espagnol. Il faut savoir en effet qu’aujourd’hui, le volume d’eau sous forme de neige dans le Val d’Aran, qui va s’évacuer dans la Garonne, est le même qu’en avril de l’année dernière. Cela représente deux fois la quantité d’eau d’une année normale.» C’est pour cette raison que les gens du collectif souhaitent savoir où en sont les travaux sur la Garonne, d’autant que, force est de constater qu’à Loures Barousse dans les Hautes-Pyrénées des enrochements de berge sont en cours de réalisation !
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr)

jeudi 2 janvier 2014

Le Petit Journal - 1er janvier 2014 - Fos : Le mécontentement s'exprime

Protestation active

Le Petit Journal | Comminges | Locale | Un comité d'accueil déterminé
(Un comité d'accueil déterminé)
Le jeudi 19 décembre, le sous-préfet, Bernard Bahut, avait convié les maires du canton de St Béat à une réunion de travail portant sur le curage du barrage EDF dit du Plan d'Arem. Cette réunion s'est tenue en la mairie de Fos. Mais à son arrivée, le sous-préfet a été confronté à un important groupe d'habitants de Fos regroupés autour d'un collectif local qui entendait bien faire valoir son mécontentement par rapport à la lenteur des travaux sur la Garonne. Les échanges, qui ont duré plusieurs minutes, ont été assez tendus à certains moments, mais au total aucun incident n'est à déplorer.
La colère des habitants de Fos, lourdement sinistrés, tient à ce qu'ils considèrent comme une attitude fuyante de la part des autorités, qui, à leurs yeux, font valoir des études en cours pour n'apporter aucune réponse définitive au problème de la sécurité des maisons.
Certes, ils ont pu constater une évolution puisque le sous-préfet a concédé que des « enrochements ciblés » seraient possibles, tout en répétant cette phrase qui irrite les habitants : « le fleuve doit vivre sa vie » (phrase rapportée par le sous-préfet). Ce qui signifie qu'il n'est pas question, pour les autorités, d'envisager un enrochement continu sur des kilomètres, mais seulement à des endroits critiques. Les délais n'ont pas été précisés.
De même, les habitants, armés de banderoles, voudraient que soit entrepris un curage du lit de la Garonne, et un enlèvement significatif de terre et matériaux en amont du village, de façon à éviter une éventuelle réplique de la crue. Ils sont inquiets car les travaux risquent d'intervenir trop tard, puisque le niveau de la Garonne remonte chaque année dès le début du printemps.
Ils ont été écoutés par le sous-préfet, mais ce dernier a bien expliqué qu'il était tributaire de décisions prises à d'autres niveaux, en fonction d'avis d'experts dont les habitants contestent par ailleurs la clairvoyance. A leurs yeux, seuls les résidents de longue date connaissent vraiment bien les particularités du site, qui ne sautent pas aux yeux à partir de photographies ou d'études cartographiques...
(Lire l'article sur le site du Petit Journal)

jeudi 19 décembre 2013

La Dépêche du Midi - Fos. Réunion de travail sur le curage du plan d'Arem


Les gens du collectif Sortir de l'eau suivent avec intérêt tous les dossiers «inondations»./Photo DDM, C. T
Les gens du collectif Sortir de l'eau suivent avec intérêt tous les
dossiers «inondations»./Photo DDM, C. T

Le 6 décembre au soir, le collectif «Sortir de l’eau» à Saint-Béat tenait une réunion publique pour informer les sinistrés du canton de sa rencontre avec le préfet de Région Henri-Michel Comet.
Une entrevue avec lequel, quatre porte-parole du collectif ont eu des échanges cordiaux et constructifs. Luce Lagacherie, Philippe Prax, Alain Frisoni et Maryse Demolombe ont donc rendu compte des différents points évoqués avec le représentant de l’État et notamment celui sur le curage du Plan d’Arrem qui aujourd’hui fait réagir le collectif mais également les habitants de Fos qui n’ont toujours aucune information sur le sujet. Le point noir pour eux étant les boues.
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr)